#Générale#+ source: table décennale 1MIEC863
#Générale#+ source: table décennale 1MIEC863
#Générale#voir Zysberg sur Marseille et les galère, au temps du roi soleil page 154
#Générale#Cotignac - CM - 3E30 - le 09.05.1596 -
#Générale#Un Jehan REGIS, Président du Conseil Général, reçoit le 20 Janvier 1660 l'avis de l'arrivée de Louis XIV et sa cour. (https://www.varmatin.com/vie-locale/saint-joseph-apparait-en-juin-1660-a-cotignac-dans-le-var-387866) A Cotignac, le site est dominée par une colline où une chapelle est dédiée à Notre-Dame de Graces. Le sanctuaire date de 1519. La renommée que lui valurent les nombreux bienfaits attribués par la Foi populaire à l'intercession de la Vierge se répandit jusqu'au Louvre. Le roi Louis XIII qui attendait depuis vingt deux ans un héritier ordonna des neuvaines de prières à N.D. de Grâces et quand il s'avèra qu'Anne d'Autriche, sa femme, était enceinte, il en eut une telle reconnaissance qu'il consacre solennellement le royaume de France à la Vierge Marie le 10 février 1638. Le dit enfant devint Louis XIV ! Le voyage qu'il fit pour rencontrer sa fiancée, l'infante Marie-Thérèse d'Espagne et le détour qui l'amena à Marseille lui fournirent l'occasion de témoigner aussi sa gratitude à la Vierge. Suivi d'un nombreux cortège il vint à Corignac le 21 février 1660. La Reine Mère l'accompagnait ainsi que le Cardinal Mazarin et plusieurs princes. Est-ce notre Jehan REGIS ou son père qui lut le compliment adressé au Roi par la Municipalité. A notre connaissance, les registres de Cotignac ne nous donnent aucune précision sur les dates de naissance et de décés de ce Jehan. Notre Jehan, père d'Honoré né en 1635, est peut-être né vers 1610-1620. Il peut tout-à-fait être Consul en 1660, lors de la venue de Louyis XIV. Au début du 18ème siècle, à Cotignac, nous trouvons quatre vingt dix REGIS, répartis dans seize familles. Contrat de mariage : Tourves 3E 15 270 F 269 - 02.11.1632 - entre : REGIS Jehan de Cotignac et CHARLESSE Catherine : "Dot de 1400 livres y compris coffres, habillement et joyaux jusqu'à 200 livres. François REGIS donne à son fils 1500 livres pour donation de noces et 1/3 sur son héritage, plus une maison, jardin et botique pour l'usage de son habitation et négoce qu'il aura à Cotignac" Consul de Cotignac - en 1660, reçut Louis XIV et Anne d'Autriche à Cotignac. 286. JEAN-JACQUES REGIS, écrivain du Roy et commis dans le magasin général des galères, faisant fonction de secrétaire de M. de Montmort, intendant général desdites galères (1 ) D'azur, à une aigle d'argent, accompagnée de trois étoiles d'or, rangées en chef. (1) Jean-Jacques Regis fut nommé plus tard lieutenant de Roi de la ville d'Aubagne; de lui descend la famille fixée à Marseille. Il fut père de Jean-Pierre de Regis, lieutenant de Roi de la ville d'Aubagne et secrétaire-général de l'intendance, lequel eut Jean de Regis de la Colombière, chargé du contrôle de la marine, et qui épousa Magdeleine de Geoffroy, dont Jean-François-Pierre de Regis de la Colombière, qui servit dans la marine royale, qu'il quitta à l'époque de la Révolution pour se livrer il la navigation du commerce. Il se distingua, en 1810, contre les Anglais, qui avaient fait une entreprise sur les !les de Marseille. Il eut plusieurs enfants, savoir 1° Jean-François-Augustm-Balthazar de Regis de la Colombière, qui a laissé deux fils, Auguste et Louis, et plusieurs filles, dont une a épousé M. Ferdinand André, sous-archiviste des Bouches-duMône;
#Générale#° 7E49/3 vue352 https://archives.var.fr/ark:/73531/s00512dcf3599746/512dcf35ecab2 x 201E2116 F13 vue13 n°12 http://www.archives13.fr/ark:/40700/vta6926a0f42797333b/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_4048c5843fc5a46847d6dcd626f481f2#id:34457588?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00 + 201E2888 R5 F10 vue10 n°36 http://www.archives13.fr/ark:/40700/vtaec9709a691fbce6f/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_f0ae0ce19c9068d7ff5424c06c296a25#id:1905637299?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=3062.462,-946.901&zoom=9&rotation=0.000
#Générale#° 201E5359 F96 vue51 n°565 http://www.archives13.fr/ark:/40700/vtaaf153c03c53a07b9/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_1cd0807dff646dfab1d20cb03aaa5437#id:658371314?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1990.948,-1566.825&zoom=10&rotation=0.000
#Générale#° 201E4252 F195 vue28 n°1164 http://www.archives13.fr/ark:/40700/vta56283b5aa3249995/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_d610624aa1c985826e9b035a45c3dc9b#id:1670498092?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2092.754,-559.803&zoom=9&rotation=0.000 x 201E5379 F116 vue7 n°222 http://www.archives13.fr/ark:/40700/vta3aa4fc22d56afb88/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_e681d3a2e5a524623197bc73ac87f1e1#id:1598891098?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2182.394,-1099.927&zoom=7&rotation=0.000 Descendance de Jules réalisée grâce au travail de Jean François de Soras, merci à lui.
#Générale#Ce tanneur de Cotignac vint à Marseille en février 1793. Il demeure avec sa famille : Maison 8 - Ilot 28 - 1 rue Thubaneau à Marseille. Jean-Louis REGIS et son épous Elisabeth PIC, née à Trans en Provence eurent 9 enfants. ° 1MIEC859 vue69-70 bas de page droite https://archives.var.fr/ark:/73531/s00512dd94fa0d65/512dd94fab897 x https://www.geneanet.org/releves-collaboratifs/view/60916/871971 mais introuvable dans les archives en ligne + 7E49/11 F11vue341 n°34 https://archives.var.fr/ark:/73531/s00512dcf3cb5f70/512dcf3d0e700
#Générale#° 201E2737 R2 F208 vue20 n°1245 http://www.archives13.fr/ark:/40700/vtabcd266b9490df68e/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_f258c04e2100ea23359c04bd2ca0c638#id:710676151?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=673.032,-1063.652&zoom=10&rotation=0.000 x 201E4550 R4 F45 vue12 n°87 http://www.archives13.fr/ark:/40700/vtab651b8ae064e5cb2/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_a2bc25a625ff0b9f924fde2174adab95#id:524961345?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=845.160,-702.720&zoom=9&rotation=0.000 source +: https://gw.geneanet.org/retienne?lang=fr&pz=robert+paul&nz=etienne&p=louise+marie+therese&n=regis
#Générale#° 201E2529 Midi R2 vue122-123 http://www.archives13.fr/ark:/40700/vta04b05fd8769cc11b/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_c113ab667dcc0d4c2c5fa9f10d9dd185#id:1200454809?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2542.949,-1915.537&zoom=9&rotation=0.000 x 201E3180 R2 F105 vue6 n°202 Fabre http://www.archives13.fr/ark:/40700/vtab3ecf5bfa869d84e/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_8cfee52746bf7477012688ca4fad0b29#id:1928828393?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=871.494,-698.689&zoom=9&rotation=0.000 Sans descendance de cette union, il se sépare de sa femme en 1868 à la suite d'un procès retentissant. + 201E5298 R2 F176 vue44 n°1050 http://www.archives13.fr/ark:/40700/vta27781007edabf443/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_e2f65fe081f023781624db5719c2cffa#id:1867702692?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=705.910,-658.055&zoom=9&rotation=0.000 Victor REGIS (1803-1881) négociant-armateur Régis, l'aîné Son père Joseph-François (1767-1827), né dans une famille de marchands tanneurs de Cotignac (Var), s'installe à Marseille en 1793. Il se lance dans la fabrication des bonnets de Tunis, à laquelle il joint une petite activité de négoceavec les Échelles du Levant et le Sénégal ; de 1809 à 1823, il est directeur de la Monnaie de la ville. Sa mère, Agnès Blanc (1779-1852), est la fille d'un capitaine-marin de La Ciotat. Venu au monde le 11 septembre 1803, Victor est l'aîné de cinq enfants : une de ses sœurs épouse Jean-Baptiste Bérardi et sera la belle-mère du docteur Augustin Fabre ; de ses deux frères, Pierre (1806-1853) dit «l'Africain » meurt célibataire, tandis que le plus jeune Louis (1812-1889) épouse Lucie de Roux dont il a huit enfants qui assureront la transmission du patronyme. Victor se marie en 1833 avec Félicie Fabre (1810-1893), sœur du négociant-armateur César Fabre. Sans descendance de cette union, il se sépare de sa femme en 1868 à la suite d'un procès retentissant. Ses trois enfants naturels héritent de sa fortune ; deux d'entre eux nouent des alliances flatteuses, Victorine Mante (1849-1872) avec un neveu de Paulin Talabot, Georges Renouard (qui épousera en deuxièmes noces une fille du baron Haussmann), et Louis Mante avec la soeur d'Edmond Rostand. Le troisième, Théodore Mante, qui fera carrière dans les affaires avec son frère Louis, reste célibataire. Victor Régis meurtle19 mars 1881. Un pionnier Initié par son père, Victor Régis prend à vingt-quatre ans la direction de la maison de commerce. Peu intéressé par la fabrique (qu'il abandonne par la suite à son frère Louis), il reporte l'essentiel de son activité sur le négoce auquel il donne une nouvelle orientation. Pour cela, il s'associe successivement avec chacun de ses frères et avec un négociant de ses amis, beau-frère de Louis, Jérôme Borelli, sous la raison sociale Victor Régis Frères. Avec des voiliers puis de petits vapeurs, il participe d'abord à la ruée des négociants marseillais sur la gomme arabique dans les comptoirs de Saint-Louis et de Gorée au Sénégal, d'où il est l'un des premiers dans les années 1830 à tenter l'importation d'arachides à Marseille. Surtout, il inaugure en 1833 l'expansion marseillaise dans le golfe de Guinée. En dix ans, il organise trente-quatre expéditions de troque sous voile vers la Gambie, la Guinée, le Bas de la Côte, le Gabon; en 1847, un de ses navires fait même un voyage de reconnaissance sur les côtes orientales d'Afrique, jusqu'en mer Rouge. A partir de 1842, il crée une première factorerie à Whydah, au Dahomey, bientôt suivie de plusieurs autres qui s'échelonnent de la Côte d'Ivoire à l'Angola. En 1855, il fonde même un comptoir au Mozambique avec la maison Augustin Fabre. Mais c'est sur l'huile de palme qu'il va finalement bâtir sa fortune. Important foyer de traite des Noirs, le Bas de la Côte voit ses échanges désorganisés par les efforts de l'Angleterre désireuse de faire respecter son interdiction et par la fermeture progressive de plusieurs pays d'Amérique. Dès les années 1840, Victor Régis fait le pari audacieux de substituer le commerce de l'huile de palme au trafic des esclaves. Mais son plan se heurte aux réticences des savonniers marseillais et il doit réexporter vers l'Angleterre une partie de ses premières cargaisons, l'autre étant absorbée par la stéarinerie locale. Le pari n'est gagné qu'en 1852 quand l'ingénieur Rougier met au point un procédé de décoloration de l'huile de palme qui permet enfin son emploi par la savonnerie marseillaise. C'est donc sous le Second Empire que le système élaboré par Victor Régis peut enfin fonctionner. Au négoce et à l'armement (il possède neuf navires en 1845, vingt en 1856), il joint alors l'industrie en créant sapropre huilerie au quartier de la Madrague. Il obtient une médaille d'or à l'Exposition universelle de Paris de 1855. En Afrique, il concentre ses factoreries là où les conditions sont les plus favorables et où il est, grâce à l'appuides souverains locaux, en position de quasi-monopole : en 1869, il en possède une dizaine qui s'échelonnent du Togo au Nigéria. Le Second Empire est aussi pour Victor Régis l'époque de la restructuration de son entreprise devenue Régis aîné et Cie. En 1847 en effet, il se sépare de son frère Louis (celui-ci se consacre désormais à la fabrique des bonnets de Tunis, à la minoterie, à la stéarinerie et surtout à la gestion de ses propriétés rurales). Il perd aussi son commanditaire Jérôme Borelli, qui décède en 1852. Il prend alors à ses côtés le fils de ce dernier, Georges, et le neveu de son épouse, Cyprien Fabre. Engagés comme commis en 1854, progressivement intéressés aux bénéfices, ils deviennent ses associés en 1863. C'est l'époque des profits fabuleux : à la vente, bénéfices de 120 % sur les prix de facture; à l'achat, paiement de l'huile en cauris à 12 ou 15 centimes le kilo, qui est revendu un franc à Marseille. «J'ai gagné des millions dans mon commerce», reconnaît Victor Régis. De fait, les bénéfices de la seule année 1867 se montent à 1 270 000 F. S'y ajoutent des activités non moins lucratives comme le transport tout à fait officiel d'«engagés volontaires» vers les Antilles françaises (en 1857, il obtient un contrat pour la fourniture de 20 000 travailleurs noirs) et, à Marseille, la spéculation immobilière lors des grands travaux d'urbanisme de la rue Noailles où il réalise une substantielle plus-value en édifiant un hôtel somptueux. Aussi, lors de son procès en séparation en 1868, les tribunaux estiment-ils sa fortune à quinze ou vingt millions de francs. Dans sa famille, on le surnomme «Régis le Riche». Pourtant des difficultés s'annoncent. Au Dahomey, c'est le début de la concurrence française et surtout anglaise qui amène Victor Régis à pousser au protectorat. A Marseille, c'est le problème du fret de sortie et l'échec de son projet de création d'une compagnie à charte en 1856 ; ce sont aussi (basse manœuvre de la part de concurrents britanniques ou jalousie de négociants marseillais envers l'un des leurs qui a trop bien réussi ?) les accusations de traite plus oumoins déguisée dont il est l'objet à plusieurs reprises ; c'est enfin, conséquence de ses démêlés conjugaux, la rupture avec le clan Fabre et avec sa propre famille, qui a noué de multiples alliances avec les Fabre. Après le départde Cyprien Fabre en 1868, Victor Régis constitue une autre association avec Georges Borelli ; en 1875, il y fait entrer ses deux fils naturels encore mineurs, Théodore et Louis Mante. Cinq ans plus tard, il passe la main mais reste commanditaire de la nouvelle maison Mante Frères et Borelli de Régis aîné qui ne contrôle plus que 40 % des importations d'oléagineux de la Côte, alors que Victor Régis en avait le monopole au milieu du siècle. Il décède l'année suivante,à la veille de l'effondrement des échanges avec l'Afrique. Riche et influent Il est alors considéré comme «le plus riche de nos armateurs» (un journal de Marseille parle même de 40 millions !), ce dont la déclaration de succession rend compte de façon fort incomplète. N'y figurent pas, entre autres, les biens donnés à sa fille lors de son mariage (plus de 800 000 F) et une partie de son patrimoine immobilier, notamment le monumental hôtel particulier qu'il s'est fait construire 7, rue de l'Arsenal (aujourd'hui rue Roux-de-Brignoles), au cœurduquartier résidentiel et dont l'opulence affiche la réussite de son propriétaire. Victor Régis possède aussi sa bastide, «La Buzine», que Marcel Pagnol rendra célèbre sous le nom de «Château de ma mère». A sa richesse, considérable, s'ajoute une grande notoriété. Certes, à la différence de son frère Louis, Victor Régis n'a jamais exercé de charges municipales ni joué un grand rôle dans le domaine de la bienfaisance et de la charité, à l'exception de ses legs philanthropiques et de sa présence au conseil d'administration de la Caisse d'épargne. Mais il s'investit pleinement dans tout ce qui touche à ses activités professionnelles : il siège quinze ans à la Chambre de commerce (1842-1849 et 1852-1860), dont il est le vice-président de 1856 à 1859 ; surtout, il se fait l'interprète des intérêts marseillais auprès du gouvernement qui le tient pour le grand spécialiste des problèmes de la côte d'Afrique. Il est en relations suivies avec plusieurs ministères, se rend au besoin à Londres, est reçu par l'Empereur aux Tuileries. Peu regardant sur le régime politique «pourvu que soient garantis le maintien de l'ordre et le respect aux propriétés», Victor Régis est fait chevalier de la Légion d'honneur sous la Monarchie de Juillet (1846) et officier sous le Second Empire (1862). Intelligent, dynamique, novateur, il a, comme on se plait à le reconnaître, ouvert la voie de l'Afrique occidentale au commerce marseillais. E. R. (source: https://gw.geneanet.org/carnac?lang=en&n=regis&oc=1&p=victor) voir aussi http://pavillon.houseflag.free.fr/armateur%20R.html et https://fr.wikipedia.org/wiki/Victor_R%C3%A9gis https://www.cairn.info/revue-d-histoire-moderne-et-contemporaine-2010-1-page-139.htm https://www.lesechos.fr/2013/07/marseille-premier-port-deurope-1098545 http://emig.free.fr/GENEALOGIE/Fig-Masson_Bouisson/Moustier-Vitalis/MM/C-R_PH-1992.pdf
#Générale#° 201E5370 F65 vue32 n°385 http://www.archives13.fr/ark:/40700/vta7a7a72705424e419/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_0643ddf0d081bd2ce55778a44a3f6e35#id:1848583063?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1923.306,-1507.355&zoom=10&rotation=0.000
#Générale#° 201E2565 R4 F194 vue27 n°473 http://www.archives13.fr/ark:/40700/vta57388f7912c4c7e0/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_51f2d072163081c8f3e24eb654fde33e#id:296599809?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1287.739,-1020.066&zoom=10&rotation=0.000 x 201E3180 R2 F34 n°66 vue5/27 https://www.archives13.fr/ark:/40700/vta7e2eee8eb3574252/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_8cfee52746bf7477012688ca4fad0b29#id:1125365123?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1675.889,-485.498&zoom=10&rotation=0.000 + 201E5615 R5 F171 n°1020 vue35/47 https://www.archives13.fr/ark:/40700/vtae76d82fe674c7342/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_2b1fb0a93f27ff8fd2fb6be408cf0534#id:188216363?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2348.731,-1278.218&zoom=9&rotation=0.000
#Générale#° 201E5531 F107 vue24 n°645 http://www.archives13.fr/ark:/40700/vtab933b79db173f4c3/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_9640bae991f69dc2afabbbb92f13f948#id:1822065043?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1047.712,-1262.023&zoom=9&rotation=0.000