#Générale#x E2013141 R3 F107 n°178 vue21 http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta8d064d560a00e32b/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_03ec64ce76eafefcd67e832b4aa58dfe#id:681457166?gallery=true¢er=1730.000,-1383.000&zoom=7&rotation=0.000&brightness=100.00&contrast=100.00 + http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vtabada46b753275442/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_49f411696e6fd01a7dfe77c00b65b5eb#id:777272176?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1747.244,-982.833&zoom=9&rotation=0.000
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#Générale#x 201E160 La Major F16 vue17 http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta570a4ae6689aa2b0/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_d2dc649b9e9c667709b18f4d015f4a09#id:1553681089?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2662.760,-2089.192&zoom=10&rotation=0.000
#Générale#° Doute mais ... 201E166 F63 vue69 http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta61c9b4f72b5da592/daogrp/0/69
#Générale#° page 74 registre 5 X 201 E 3137 R2 F68 n° 132 vue6 http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vtacaf09e835e9075c3/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_6731413b61ed82f009b9c1620406fa91#id:574743417?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1084.409,-759.564&zoom=7&rotation=0.000 + 201 E 4187 R4 F211 n°1260 vue49 http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta4ae7046e9534616f/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_a771cd66cee03506c017953dc857ed51#id:491462271?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1967.280,-1633.185&zoom=10&rotation=0.000
#Générale#° page 19 R7 http://www.archives13.fr/ark:/1234/vta11d1db1b8283be55/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_83c427401539e5494d8ab9d754163539#id:1610849111?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=728.675,-1618.927&zoom=9&rotation=0.000 X table décennale page 28, le 22/10/1888, 201E5564 R7 F92 n°91 vue47 http://www.archives13.fr/ark:/40700/vta85a074113290be14/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_8819786f523f286ab446fc6dde9792da#id:1109615165?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1696.000,-1264.000&zoom=7&rotation=0.000 LA FRATRIE DE PAUL PARANQUE - Edmond Paranque - 1857-1865 - Henri Paranque - 09.05.1859 - Célibataire - vécut avec Claire et Augustin. Il mourut le 31.08.1930. Marie Paranque - décédée à l'âge de 5 ans - Pierre Paranque - 05.02.0868 - Epouse le 21.02.1922 Charlotte MAISSA - Ce ménage eut deux enfants : Henri et Cécile dont nous ne savons malheureusement pas grand-chose. Henri habitait Aubagne et a eu un fils : Jean. Henri vint aux obsèques de Claire en 1951 et d'Augustin en 1966. Contrairement à Paul, ces derniers n'avaient pas fermé leur porte à son père après son mariage. J'entends encore les ricanements de Lucie REGIS, belle-fille de Paul Paranque après l'enterrement d'Augustin, ne s'expliquant pas la présence d'Henri qu'elle jugeait incongrue alors qu'Augustin était son oncle, et que sa présence était signe d'affection, d'ouverture et de dignité !. Jean Paranque - 08.09.1869 - Epouse le 19.10.1927 Céline Bérengère LEMERLE. Ce ménage eut trois filles dont une mourut très jeune. Jean comme Pierre fut totalement exclu de l'entourage de Paul, leur frère et de sa famille. Aucun des enfants d'André et de Ginette n'a jamais vu cette branche de leur famille. Par contre, ils gloussaient avec envie et dérision, sur les "frasques" des oncles de leur père. Un climat bien malsain en somme. Claire Paranque - 12.04.1873 - célibataire - mourut le 11.01.1951 Augustin Paranque - 02.11.1875 - célibataire - mourut le 20.10.1966 Après la faillite et la mort de leur père, les cinq frères et soeur : Henri, Pierre, Jean, Claire et Augustin, habitèrent avec leur mère, d'abord rue Joseph Autran, puis 22 rue Ed. Delanglade, jusqu'en 1922. A ce moment là, Pierre qui avait fait un mariage que son frère Paul n'approuvait pas , acheta une villa à St Julien. Jean en fit autant et se maria en 1927. Claire et Augustin n'avaient que 18 et 17 ans à la mort de leur père. C'est leur frère Henri qui assura leur éducation. En 1922 ils allèrent dans une propriété aux Milles près d'Aix "Le Petit Robert" qu'ils louèrent. Après la mort d'Henri puis celle de Claire, Augustin qui ne pouvait habiter seul préféra aller chez les Frères de St Jean de Dieu à Marseille. Jusqu'en 1922 qui parait être l'année des grands changements !! les "oncles et Claire" comme les appelait André, leur unique neveu, fils de Paul, louaient tous les étés une maison située dans une propriété "Le Verger" près de Simiane. Tous aimaient beaucoup André et Claire lui disait toujours : "tu verras tout ce que nous te laisserons". Pierre et Jean eurent leur famille. Henri laissa son avoir à Claire qui laissa le sien grossi de celui d' Henri à Augustin ...... qui.... a tout mangé... ou vendu.... ou donné......en mendant une vie des plus modeste!!! La surprise fut grande !!! -=-=-=-=-=-=- Paul Paranque, dés son mariage avec Térèse ROSTAND le 25 Octobre 1888 alla habiter "La Sérane", propriété des Rostand, jusqu'en 1897. A ce moment là le ménage loue un appartement rue des Princes au n° 12, actuellement rue Stanislas Torrents, car leur fils André fréquente alors le Collège des Jésuites rue St Sébastien. Le ménage vécut là jusqu'en 1924, date à laquelle Paul Paranque acheta VALBRUNY. Après avoir exploré la généalogie ROSTAND, nous nous étendrons sur l'histoire de la Bastide de Valbruny. -=-=-=-=-=-=-=- Michel Paranque le petit-fils de Paul racontait que son grand-père n'avait jamais travaillé de sa vie. Il était rentier !. En fait, après 1890 il fit marcher la Savonnerie Le Fauteuil qu'il vendit vers 1925. Il fit un peu de courtage dans le domaine des corps gras. Le commerce a toujours besoin d'intermédiaires, c'est là que les courtiers interviennent. A Marseille lieu de commerce par excellence, les courtiers étaient indispensables. Dés 1601, ils furent l'objet d'un règlement publié par le conseil municipal de Marseille. Ils servaient d'entremetteurs pour toutes sortes d'affaires. Ayant probablement fait de bons placements, Michel ne le vit jamais travailler. Il se rendait tous les jours au "Cercle" lieu de rencontre par excellence de la bourgeoisie marseillaise, jouait aux échecs .... Pendant la guerre de 1939-1945, alors que son fils André habitait avec sa famille au Chateau de la Millière, propriété de sa femme Lucie Règis, Michel demeura chez son grand-père à Valbruny, ce qui était plus facile pour fréquenter les cours du Collège des Jésuites. Tout était rationné, surtout le pain. Chacun avait un petit sac et tous les matins, la ration de chacun était serrée précieusement : elle devait durer la journée. Bien souvent Michel a vu sa ration sérieusement diminuer : son grand-père avait faim lui aussi mais ne pouvait pas supporter cette privation..... pourtant Michel en pleine adolescence avait faim lui aussi et besoin de manger. Après s'être laissé avoir plusieurs fois, il prit l'habitude de transporter son petit sac avec sa ration de pain sur lui !!
#Générale#° 201E2742 R2 F78 n°470 vue38 http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta64717492dd36e426/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_7b48e1351bfd888e4af2b0d8c9b1d75d#id:1669455685?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2023.383,-1568.154&zoom=12&rotation=0.000 + 201E22AC R3 F38 n°345 http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vtad5804ad5a521e940/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_eb14745677431de402551918c0b3ab2f#id:281380003?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=945.045,-616.091&zoom=10&rotation=0.000