#Générale#x E2013141 R3 F107 n°178 vue21 http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta8d064d560a00e32b/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_03ec64ce76eafefcd67e832b4aa58dfe#id:681457166?gallery=true¢er=1730.000,-1383.000&zoom=7&rotation=0.000&brightness=100.00&contrast=100.00 + http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vtabada46b753275442/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_49f411696e6fd01a7dfe77c00b65b5eb#id:777272176?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1747.244,-982.833&zoom=9&rotation=0.000
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#Générale#https://gw.geneanet.org/flebrun2?lang=fr&pz=florence+chantal&nz=comte&p=elena&n=bardi et https://gw.geneanet.org/soullier?lang=fr&iz=1&p=helene+elena&n=de+bardi http://generoyer.free.fr/H-Florence.htm https://www.wandruszka-genealogie.eu/Antonio/Antonio_Upload/Bardi.pdf voir aussi https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_podestats_de_Volterra
#Générale#https://www.wandruszka-genealogie.eu/Antonio/Antonio_Upload/Bardi.pdf page 12/15
#Générale#° Doute mais ... 201E166 F63 vue69 http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta61c9b4f72b5da592/daogrp/0/69
#Générale#° page 74 registre 5 X 201 E 3137 R2 F68 n° 132 vue6 http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vtacaf09e835e9075c3/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_6731413b61ed82f009b9c1620406fa91#id:574743417?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1084.409,-759.564&zoom=7&rotation=0.000 + 201 E 4187 R4 F211 n°1260 vue49 http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta4ae7046e9534616f/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_a771cd66cee03506c017953dc857ed51#id:491462271?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1967.280,-1633.185&zoom=10&rotation=0.000
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Contrairement à Paul, ces derniers n'avaient pas fermé leur porte à son père après son mariage. J'entends encore les ricanements de Lucie REGIS, belle-fille de Paul Paranque après l'enterrement d'Augustin, ne s'expliquant pas la présence d'Henri qu'elle jugeait incongrue alors qu'Augustin était son oncle, et que sa présence était signe d'affection, d'ouverture et de dignité !. Jean Paranque - 08.09.1869 - Epouse le 19.10.1927 Céline Bérengère LEMERLE. Ce ménage eut trois filles dont une mourut très jeune. Jean comme Pierre fut totalement exclu de l'entourage de Paul, leur frère et de sa famille. Aucun des enfants d'André et de Ginette n'a jamais vu cette branche de leur famille. Par contre, ils gloussaient avec envie et dérision, sur les "frasques" des oncles de leur père. Un climat bien malsain en somme. Claire Paranque - 12.04.1873 - célibataire - mourut le 11.01.1951 Augustin Paranque - 02.11.1875 - célibataire - mourut le 20.10.1966 Après la faillite et la mort de leur père, les cinq frères et soeur : Henri, Pierre, Jean, Claire et Augustin, habitèrent avec leur mère, d'abord rue Joseph Autran, puis 22 rue Ed. Delanglade, jusqu'en 1922. A ce moment là, Pierre qui avait fait un mariage que son frère Paul n'approuvait pas , acheta une villa à St Julien. Jean en fit autant et se maria en 1927. Claire et Augustin n'avaient que 18 et 17 ans à la mort de leur père. C'est leur frère Henri qui assura leur éducation. En 1922 ils allèrent dans une propriété aux Milles près d'Aix "Le Petit Robert" qu'ils louèrent. Après la mort d'Henri puis celle de Claire, Augustin qui ne pouvait habiter seul préféra aller chez les Frères de St Jean de Dieu à Marseille. Jusqu'en 1922 qui parait être l'année des grands changements !! les "oncles et Claire" comme les appelait André, leur unique neveu, fils de Paul, louaient tous les étés une maison située dans une propriété "Le Verger" près de Simiane. Tous aimaient beaucoup André et Claire lui disait toujours : "tu verras tout ce que nous te laisserons". Pierre et Jean eurent leur famille. Henri laissa son avoir à Claire qui laissa le sien grossi de celui d' Henri à Augustin ...... qui.... a tout mangé... ou vendu.... ou donné......en mendant une vie des plus modeste!!! La surprise fut grande !!! -=-=-=-=-=-=- Paul Paranque, dés son mariage avec Térèse ROSTAND le 25 Octobre 1888 alla habiter "La Sérane", propriété des Rostand, jusqu'en 1897. A ce moment là le ménage loue un appartement rue des Princes au n° 12, actuellement rue Stanislas Torrents, car leur fils André fréquente alors le Collège des Jésuites rue St Sébastien. Le ménage vécut là jusqu'en 1924, date à laquelle Paul Paranque acheta VALBRUNY. Après avoir exploré la généalogie ROSTAND, nous nous étendrons sur l'histoire de la Bastide de Valbruny. -=-=-=-=-=-=-=- Michel Paranque le petit-fils de Paul racontait que son grand-père n'avait jamais travaillé de sa vie. Il était rentier !. En fait, après 1890 il fit marcher la Savonnerie Le Fauteuil qu'il vendit vers 1925. Il fit un peu de courtage dans le domaine des corps gras. Le commerce a toujours besoin d'intermédiaires, c'est là que les courtiers interviennent. A Marseille lieu de commerce par excellence, les courtiers étaient indispensables. Dés 1601, ils furent l'objet d'un règlement publié par le conseil municipal de Marseille. Ils servaient d'entremetteurs pour toutes sortes d'affaires. Ayant probablement fait de bons placements, Michel ne le vit jamais travailler. Il se rendait tous les jours au "Cercle" lieu de rencontre par excellence de la bourgeoisie marseillaise, jouait aux échecs .... Pendant la guerre de 1939-1945, alors que son fils André habitait avec sa famille au Chateau de la Millière, propriété de sa femme Lucie Règis, Michel demeura chez son grand-père à Valbruny, ce qui était plus facile pour fréquenter les cours du Collège des Jésuites. Tout était rationné, surtout le pain. Chacun avait un petit sac et tous les matins, la ration de chacun était serrée précieusement : elle devait durer la journée. Bien souvent Michel a vu sa ration sérieusement diminuer : son grand-père avait faim lui aussi mais ne pouvait pas supporter cette privation..... pourtant Michel en pleine adolescence avait faim lui aussi et besoin de manger. Après s'être laissé avoir plusieurs fois, il prit l'habitude de transporter son petit sac avec sa ration de pain sur lui !! Mon ancêtre Paul Paranque a reproduit les armes de Jean-Baptiste DUFOUR (ou du FOUR), échevin de Lyon 1576-1577 Armorial consulaire de la ville de Lyon (page 14/18 f007v-007bis) sur une chevalière dont j'ai héritée. Mais où a-t-il trouvé l'original, d'autant que ce blason n'est pas des plus "spectaculaire"... J'ai cherché sur la descendance Guillaume Charrier qui a épousé Gabrielle Dufourt, fille de Jean-Baptiste, sans résultat. Mon hypothèse, basée sur les témoignages obtenus dans ma famille, était que Paul aurait trouvé ce blason sur des chandeliers (ou un autre objet) possédés par la famille Jourdan dont sont issues sa grand-mère, Marie Joseph Eulalie Jourdan, et l'arrière-grand-mère de sa femme,Thérèse Rostand, donc sa belle-famille, Rose Adeline Jourdan. En effet, toutes deux ont comme ancêtres communs, François Jourdan, dont le père, Jean, s'est installé à Lyon entre 1701 et 1738, et dont le frère, Jacques a fait une carrière de négociant avec le qualificatif de "bourgeois" à Lyon où il est décédé en 1788. Un de ces Jourdan aurait pu obtenir ces chandeliers, ou un autre objet, issus des Dufourt, soit lors d'une acquisition, soit à l'occasion d'un lègue, ce qui reste à prouver. Paul aurait trouvé "symbolique" d'avoir une chevalière réunissant les branches familiales cousines de sa femme et de lui-même.
#Générale#° page 9 registre 5 https://www.archives13.fr/ark:/40700/vtad7f4de85ab30e123/daogrp/0/1?id=https%3A%2F%2Fwww.archives13.fr%2Fark%3A%2F40700%2Fvtad7f4de85ab30e123%2Fcanvas%2F0%2F9 X page 28 R 4 https://www.archives13.fr/ark:/40700/vta2697c02641177b44/daogrp/0/1?id=https%3A%2F%2Fwww.archives13.fr%2Fark%3A%2F40700%2Fvta2697c02641177b44%2Fcanvas%2F0%2F28&vx=1146.7&vy=-1031.96&vr=0&vz=4.74593 + 201E5627 R8 F48 vue49 n°284 http://www.archives13.fr/ark:/40700/vta604bf75c5744edf9/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_99f9b19bf1552ab07ae4826aff288c4c#id:232744773?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2606.008,-1920.445&zoom=10&rotation=0.000 Henri PARANQUE épouse le 24 juin 1857 à Marseille Cécile LABATUT née le 21 décembre 1829, 15 cours Bonaparte à Marseille. Contrat chez Maitre FLORET. Elle est la fille de Jean-Marie LABATUT et de Sophie LAFON. Le jeune ménage habite chez les Paranque, 9 rue Armény. Henri PARANQUE était négociant, fabricant d'huile, savonnier, propriétaire de la Savonnerie "LE FAUTEUIL". Fils unique et très riche, il ne voulut jamais s'occuper de ses affaires. Il comptait sur son fondé de pouvoir sur lequel il se reposait complètement. Il avait une des plus grosses fortunes de Marseille. Ses biens étaient considérables. Il possédait entre autres, tout le pâté de maison donnant sur la Place de la Préfecture, depuis la caserne du Bd du Muy, jusqu'à la rue Armény. Dans cette rue, il était propriétaire de plusieurs immeubles dont celui sis au n°9 qui abritait son hôtel particulier.(Par la suite cet hotel appartint à la famille GAVOTY, puis devint le Cercle Militaire, pour enfin être le siège du Consulat des Etats Unis et porter le n° 17).Il n'habitait rue Armény que durant les mois d'hiver. En effet dés le mois de mai et jusqu'à la fin octobre il préférait vivre à la campagne. Il loua d'abord une propriété à Ste Anne au Bd des Buis appelée "Campagne Thieu". En 1865 Henri PARANQUE achèta la propriété de "ROCHEBELLE" à Monsieur BUDD au prix de 130.000 francs. Henri PARANQUE était président de tout ce qui était en vue à Marseille. Raphaël GONDOIS, fils de Gaudentie LABATUT et Gustave GONDOIS, donc leur neveu : "Les PARANQUE menaient un très grand train de vie : équipages du père, de la mère, des enfants, des cochers, des domestiques dont un noir nommé Salem. Président du Comité Catholique, comité très important à l'époque, Henri PARANQUE recevait toutes les notabilités catholiques : les archevêques et évêques de passage à Marseille avaient chez lui la chambre et le couvert". Au moment de la Commune, en 1871, une barricade était dressée à l'angle de la rue Armény et de la Place de la Préfecture et les insurgés tiraient depuis cette barricade sur une partie du Cours Pierre Puget. Un domestique des PARANQUE mit un jour, par curiosité, la tête à la fenêtre : il reçut immédiatement une balle qui le tua sur le coup. Les GONDOIS qui habitaient 15 Cours Bonaparte (actuellement 25 Cours Pierre Puget) devaient, pour entrer chez eux, passer par la rue Breteuil et se faufiler derrière les arbres jusque devant leur porte, pour, d'un bond, franchir la rue. Les affaires paraissaient prospères, les revenus abondants. Vers la fin des années 1800, les choses cependant tournèrent mal. Un été où à son habitude, Henri PARANQUE était parti à la campagne, son fondé de pouvoir, payé pour prendre des responsabilités et tenter des coups de bourse, crut réaliser une affaire magnifique avec des arachides. Il avait acheté trois bateaux à vapeur de cette marchandise et comptait bien réaliser un important bénéfice. Mais on enregistra une baisse sensationelle sur les arachides au moment même où les bateaux touchaient quai. Ce fut la catastrophe. Henri Paranque dut payer. Dans le même temps, l'huilerie qui ne marchait pas très bien prit feu et ce fut la faillite. On était en 1890. Ces pertes jointes aux grandes dépenses du ménage obligea Henri PARANQUE à déposer son bilan. Henri PARANQUE, mourut le 23 juillet 1890 d'une rupture d'anévrisme sur un banc de la Place St Ferréol (qui faisait suite à la Place de la Préfecture), accident probablement provoqué par le choc de sa faillite. Son épouse, Cécile GONDOIS, se retrouvait veuve. Le dernier de ses six enfants, Augustin, n'avait que 15 ans. Et pourtant cette femme déjà si éprouvée n'était pas au bout de ses épreuves. Sa soeur Gaudentie, épouse de Gustave GONDOIS née le 21 septembre 1843 au 66 rue St Ferréol, demeurait avec sa famille 15 cours Bonaparte. Les GONDOIS résidaient souvent dans leur propriété de "La Parcelle" à Marzargues, chemin de la Gouffonne, à coté de "Rochebelle". Ecoutons Raphaël GONDOIS : "Ma mère est décédée tragiquement à Mazargues, dans notre campagne "La Parcelle" le vendredi 8 aout 1890. J'avais alors 7 ans. Ce triste évènement est toujours gravé dans ma mémoire. Ma mère prenait un bain vers 11 heures dans un bassin profond de plus de deux mètres situé derrière la maison. Ne la trouvant pas, je la cherchais et je la vis au fond du bassin. Un paysan voisin, Joseph MARSO, qui devint plus tard notre jardinier à "Rochebelle", la sortit de l'eau. Le froid de l'eau ou une cause quelconque : indisposition, tourments occasionnés par les ennuis de sa soeur Cécile et le décés de son beau-frère Henri PARANQUE avaient probablement provoqué une congestion. Elle se noya sans pouvoir appeler au secours". Mais, chez Cécile PARANQUE, c'était le moment des grandes décisions : La campagne de "ROCHEBELLE" fut mise en vente aux enchères le 10 novembre 1890, c'est Gustave GONDOIS qui en fut adjudicataire au prix de 50.025 frs. En effet après le tragique accident survenue à son épouse Gaudentie il voulait se défaire de "La Parcelle". Malheureusement, le montant atteint par "Rochebelle" parut très bas aux PARANQUE et les relations entre les deux familles, chacune pourtant particulièrement éprouvées, se distendirent. La "réconciliation" ne se fit qu'en 1931, soit plus de 40 ans après!. En effet, le 17 novembre 1931 décède Gabriel GONDOIS, autre fils de Gaudentie et Gustave, frère de Raphaël. Ce dernier qui avait de profonds sentiments familiaux et religieux note dans ses souvenirs qu'il fut touché de recevoir dans l'après-midi la visite de Claire et Augustin PARANQUE, ses cousins germains avec lesquels la famille était fachée : "C'est la réconciliation, j'en suis très heureux". Après "ROCHEBELLE" il faut envisager de vendre l'hotel particulier et les immeubles de la rue Armény ainsi que ceux en façade de la Place de la Préfecture. Les PARANQUE allèrent alors habiter, rue Joseph Autran, puis rue Fort Notre Dame où était la Savonnerie. Cette affaire appartenait à Cécile PARANQUE née LABATUT, son fils ainé Paul, marié depuis deux ans à Térèse ROSTAND, s'en occupa. Pierre et Jean firent du courtage et réussirent à gagner la première année où ils durent travailler, en 1891-1892 environ, la somme de 20.000 frs. Après avoir habité rue Fort Notre Dame, au siège de la Savonnerie et avoir fait de bonnes affaires puisque l'usine était remontée et l'avenir moins sombre, ils allèrent habiter au 22 rue Edouard Delanglade (dite à l'époque : rue Nicolas). Nous avons longuement parlé des LABATUT en évoquant Jean-Marie. Il faut préciser que les quatre soeurs LABATUT : - Léonie épouse de Théodore OLIVIERI, - Cécile épouse d'Henri PARANQUE, - Gaudentie, épouse de Gustave GONDOIS, - Mimi, célibataire, paraissent avoir été très liées. En effet, nous savons par les "Mémoires" de Raphaël GONDOIS, fils de Gaudentie que : "Jusque vers 1890, que les LABATUT, OLIVIERI, PARANQUE et GONDOIS avaient coutume de se réunir le dimanche, tour à tour dans chaque famille. Les PARANQUE possédaient la belle propriété de "Rochebelle" à Mazargues, contigüe à celle de "La Parcelle de La Salette", ch. de Gouffonne, propriété de Gustave GONDOIS". Chez les LABATUT-PARANQUE aux temps bienheureux d'avant 1890, chacun avait un surnom. Jules LABATUT, frère de Cécile Paranque, avait un nez minuscule, son frère Eugène, au contraire un très grand nez. Ainsi, l'un était surnommé "Néanmoins" et l'autre "Néanplus". Un des fils PARANQUE, toujours très mou en tout, n'a jamais été appelé autrement que "Flanette". Les actes de naissance, ajoutés à d'autres sources nous permettent de connaitre les lieux d'habitation successifs de la famille d'Henri PARANQUE et de son épouse Cécile LABATUT. Edmond - né 1857 - + 1865 Henri - né le 09.05.1859 - 70 rue de Rome - sans alliance - + 31.08.1930 Paul - né le 07.09.1860 - 70 rue de Rome - voir sa descendance ci-après - Marie - + à 5 ans Pierre - né le 05.02.1868 - 9 rue Armény - x 21.02.1922 Charlotte MAISSA Jean - né le 08.09.1869 - 9 rue Armény _ x 19.10.1927 Céline LEMERLE Claire -née le 12.04.1873 - 9 rue Armény - sans alliance - + 11.01.1951 Agustin- né le 02.11.1875 - 9 rue Armény - sans alliance - + 20.10.1966 Cécile LABATUT-PARANQUE mourut le 8 mai 1917, au 22 rue Edouard Delanglade, à l'age de 77 ans, entourée de ses enfants. La Savonnerie, rue Fort Notre Dame, fut vendue en 1925 à Darier de RUFIO.
#Générale#° 201E14 La Major F119 vue47/53 https://www.archives13.fr/ark:/40700/vta55e7911d3c34dab3/daogrp/0/1?id=https%3A%2F%2Fwww.archives13.fr%2Fark%3A%2F40700%2Fvta55e7911d3c34dab3%2Fcanvas%2F0%2F47&vx=1441.42&vy=-1321.41&vr=0&vz=6.0588
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#Générale#x 201E649 Les Accoules F95 vue6 http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vtab1582f73c079f817/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_461a3bba6361b681871314b2ff0f6b02#id:1847222032?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2498.566,-563.060&zoom=11&rotation=0.000 et https://www.geneanet.org/archives/etat-civil/colgnecmagbr13m/1063414?preview=YTo1OntzOjM6Im5vbSI7czo4OiJQQVJBTlFVRSI7czo2OiJwcmVub20iO3M6MTA6IkFsbGV4YW5kcmUiO3M6MTI6Im5vbV9jb25qb2ludCI7czoxMDoiUEVMTElDSUVSRSI7czoxNToicHJlbm9tX2NvbmpvaW50IjtzOjk6Ik1hZ2RlbGVuZSI7czo4OiJyZWxhdGlvbiI7czoyMToic2VhcmNoX3JlbGF0aW9uX3N1amV0Ijt9ODA3NWI0NjdkMzg5ZDc3OTUwNjk2NWYxMTQ0ZDgyMTE%3D