#Générale#x CM AD13 390 E 120 f° 1381
#Générale#2iem x 201E3241 R3 F118 n°233 vue31 http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta4d19bdd47b7a8705/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_ce13eea249feda44e5931d680d4586f2#id:1545341603?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=910.183,-614.967&zoom=10&rotation=0.000
#Générale#° page 27 R4 N°1215 http://ligeo.archives13.fr/ark:/1234/vta3f04bb4510b47b24/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_a118d133df6959abf0c9f763cc1c8b72#id:162634247?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=771.929,-464.492&zoom=9&rotation=0.000 X page 28 R 4 n° 197 http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta2697c02641177b44/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_47032cd49c8b5beb10862b29c91d551f#id:721037582?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=860.834,-675.487&zoom=10&rotation=0.000
#Générale#x http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta7694f7ca38fd9a2c/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_6481829701f1fa11d3f99b18cca958d4#id:512999556?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1120.489,-1028.550&zoom=8&rotation=0.000
#Générale#source https://gw.geneanet.org/augusta06?lang=fr&p=pierre&n=labatut&oc=1
#Générale#source https://gw.geneanet.org/augusta06?lang=fr&p=pierre&n=labatut&oc=1
#Générale#° F28 vue150 http://www.basesdocumentaires-cg06.fr:8080/ics/Converter?id=C887A2BB4BD8810ED693EC6EA85E4914/GG5_GG5_0155.jp2&s=0.6739999999999999&r=0&x=0&y=244&w=2009&h=1011 x F21 vue342 http://www.basesdocumentaires-cg06.fr:8080/ics/Converter?id=31120D442E520A43433D7EC719D1D29B/GG6_GG6_0365.jp2&s=1.1132359550561797&r=0&x=1702&y=1767&w=2259&h=1011 Tout ce qui concerne la vie d'Honoré LABATUT dont à ce jour (05.12.1995) nous ne connaissons ni la date ni le lieu de décés, est consigné dans les Souvenirs de son fils JEAN MARIE LABATUT (1791-1869).
#Générale#° Saint Pierre Le Mouillage 1791 F33 vue35 n°255 http://anom.archivesnationales.culture.gouv.fr/caomec2/osd.php?territoire=MARTINIQUE&commune=SAINT-PIERRE%20LE%20MOUILLAGE&annee=1791&typeacte=AC_NA x 201E3154 R1 F138 vue17 n°253 http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vtab53943894a56563e/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_0e9d1e8c9dccca44392cd74de3752013#id:1525164313?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1057.410,-725.178&zoom=8&rotation=0.000 + 201E4785 R7 F6 vue6 n°92 http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta5867e9863f7eb7cf/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_ee97cd1d9e7f53763cd55ed5a3bad93b#id:224359141?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2049.162,-1796.248&zoom=10&rotation=0.000 Marseille le 22 avril 1947 Raphaël GONDOIS, petit-fils de Jean-Marie LABATUT, puisque fils de Gaudentie (1843-1890) épouse de Gustave GONDOIS, livre le résultat de ses recherches généalogiques et c'est ainsi que nous pouvons, aujourd'hui 3 Décembre 1995 reconstituer l'histoire de toutes ces lignées qui aboutissent à nos petits enfants. En ce qui concerne les LABATUT, Raphaël Gondois nous indique que dans l'ouvrage "CANNES A TRAVERS LES AGES" édité par Pierrugues à Cannes en 1931, les LABATUT seraient arrivés à Cannes vers 1780. A cette époque l'île Ste Marguerite était une garnison de marins et de soldats. On estime que les LABATUT, comme d'autres personnes, ont dû venir rejoindre un des membres de leur famille cantonné dans l'île. La butte de Saint Cassien fut achetée en 1792 par 83 cannois parmi lesquels figuraient Antoine et Joseph LABATUT, l'un marin, l'autre bourgeois. Ce groupe de cannois fit construire la chapelle existante. Les Archives Municipales nous indiquent qu'en 1722 un capitaine LABATUT eut son navire coulé à l'entrée du port de Cannes. Vers 1800, un Claude LABATUT, chargé du service des îles, fut inhumé à l'île St Honorat. Cependant en ce qui concerne les LABATUT qui nous intéresse, nous savons avec certitude que : - Honoré LABATUT, Capitaine marin à Cannes épouse vers 1729 à GRASSE, Mademoiselle CAMATE fille de N.CAMATE, Quincailler de cette ville. - Leur fils Pierre LABATUT voit le jour à Cannes le 27.03.1759, il est baptisé à Ntre Dame de Miséricorde le lendemain Marseille le 20 septembre 1850 J'écris ceci pour mes enfants et dans le but de leur transmettre des faits historiques de mes ancêtres et afin surtout de leur faire prendre courage dans toutes les circonstances de la vie, en foulant au pied l'orgueil si commun dans l'homme et qui le porte à oublier de qui il descend et à mépriser son semblable. Dieu punit toujours l'orgueil et récompense l'humilité. Je commence par parler de mon grand-père Honoré LABATUT, qui s'était marié à Cannes avec Mademoiselle CAMATE, d'après ce que m'en a dit mon père Pierre LABATUT né le 28 mars 1759 à Cannes : c'était un bon marin, probe et honnête, Capitaine d'une bombarde marchande attachée au port de Marseille d'environ cent tonneaux. C'était un homme d'un caractère rude et violent avec lequel mon père n'a pu vivre que jusqu'à l'âge de quinze ans. Trouvant qu'il serait plus heureux sous un autre commandement, il laissa le navire de son père de consentement mutuel (faute immense qu'il fit). De cette époque ont commencé ses malheurs. Donc mon père, Pierre LABATUT, en l'an 1774 ou 1775, se rendit à Toulon et il s'embarqua en qualité de Pilotin à bord du vaisseau à trois ponts nommé "LE TONNANT", commandé par le Comte de GRASSE, chef d'une escadre qui fit route peu de jours après pour l'Amérique. Dans le trajet, ils furent suivi par une escadre ennemie anglaise avec qui ils livrèrent un combat sanglant où l'escadre française fut anéantie. Le vaisseau amiral "LE TORRENT" sur lequel était mon père comme pilotin au poste des signaux, fut obligé d'"amener"(amener les voiles : les baisser : se rendre) ayant perdu plus de la moitié de son équipage : ils avaient eu affaire à deux vaisseaux ennemis à la fois. " LE TONNANT " fut pris par les Anglais et coula au fond dans la même journée. Mon père, Pierre LABATUT eut le bonheur d'être parmi les vivants, sans une blessure, ce qui était pour lui une protection divine. Il fut fait prisonnier par les Anglais et conduit aux îles anglaises d'Amérique nommée Les Bermudes où il séjourna en prison fermée pendant près de cinq ans. Il mangea, ainsi qu'il le disait souvent, plus que de la vache enragée. Enfin il survint dans ces îles une famine horrible et le gouverneur ne pouvant plus nourrir les prisonniers leur donna la liberté d'aller où ils voudraient. Mon père trouva la possibilité, quoique sans ressources aucune de se rendre à LA MARTINIQUE, colonie française où il débarque en 1784 ou 1785. Il n'avait pour tout avoir que six francs dans sa poche et comme vêtements, ceux qu'il avait sur le corps, ce qui le plaçait aux portes de l'indigence complète. Cependant, doué d'un caractère ferme et décidé il chercha de suite à se tirer d'une si triste position et à gagner sa vie à la sueur de son front sans se chagriner de son dénuement. Il y avait dans la rade de St Pierre de la Martinique, lorsqu'il y débarqua, un navire de Marseille, et, comme notre famille est originaire de Cannes en Provence, il se rendit à bord pour voir des compatriotes. Il y trouva le capitaine, un ami de son père, qui lui fit beaucoup de reproches d'avoir fait la mauvaise tête, d'avoir laissé un homme si digne pour aller courir des aventures, ajoutant qu'il devait bien comprendre que Dieu l'avait puni en le faisant tomber prisonnier pendant cinq ans des Anglais. Il lui offrit de le ramener en France s'il le voulait, là il serait plus heureux, ce que mon père refusa allégeant qu'il préférait rester dans la colonie pour y travailler à gagner un avoir avant de retourner en France. Il le pria seulement de lui avancer la somme de 100 francs, remboursable en France par son père. Ce prêt lui fut refusé! Alors, mon père, pour vivre se fit ouvrier chez un marchand de parapluies, sans appointements : on le nourrissait et on lui apprenait l'état. Quand il l'eut appris il commença à être en meilleure position puisqu'il gagnait sa vie comme ouvrier. Puis trouvant qu'il ne gagnait pas suffisamment, cet état ne lui convint plus. Il se plaça alors chez un chapelier pour apprendre l'état. Losqu'il le sut, il commença à gagner des appointements comme ouvrier et avec de l'économie et de l'ordre il se trouva en moyen d'établir un petit magasin avec le crédit qu'il obtint par sa bonne conduite et son exactitude. Sa position dés lors s'améliora, ce qui le décida à se marier à St PIERRE DE LA MARTINIQUE vers 1783 et à demander une pauvre orpheline européenne sans fortune qui avait été recueillie à la mort de ses parents par une famille du nom de MEIZIN. Elle se nommait Elisabeth BAJOT (née en 1753 à RETHEL-MAZARIN dans les Ardennes, fille de François BAJOT et de Christine BAUCHERON) et fut ma mère.Elle apportait en dot 3000 livres représentées par un lit garni de sa couette de plumes, matelas, traversin, draps et paillasse, une armoire en bois de pays, une table de toilette garnie avec glace, cadre doré. Pierre LABATUT apportait 2000 livres. Les parents de ma mère, originaires de Champagne étaient d'honorables ouvriers qui furent, par suite des évènements politiques de la Révolution ou de 1793, forcés d'émigrer à la Martinique pour y travailler et bien entendu elle partit avec eux.En peu de temps elle perdit son père puis sa mère et fut recueillie par la bonne famille MEIZIN, originaire de la Provence. Mon père et ma mère eurent cinq enfants : deux garçons et trois filles, deux seulement survécurent : Marie Geneviève qui devint Mme RAIBAUD et moi même qui suis né le 18.101791 à St Pierre de la Martinique où je fus baptisé le 18.11.1791 en l'église Nt Dame du Bon Port. A l'époque de la Révolution, en 1793, le parti royaliste étant majoritaire, mon père se rendit à la GUADELOUPE où il concourut à la prise de cette colonie sur les Anglais et les royalistes dans l'armée de Victor HUGUES comme volontaire. Il parvint au grade de Lieutenant de Carabiniers avec pour Capitaine Mr PERARD (ou GERARD). Après la prise de l'île il donna sa démission et se fixa à La GUADELOUPE où il se mit dans les affaires. Ma mère était une de ces femmes rares pour l'énergie de son caractère, douée d'un courage étonnant pour son sexe. Durant cette période si difficile de la Révolution, le parti royaliste à la Martinique, ne pouvant arrêter mon père, fit mettre ma mère en prison où elle resta cinq mois quoique étant en état de grossesse. Arrivée à son terme des amis obtinrent sa sortie et on l'embarqua pour l'île anglaise LA DOMINIQUE où elle accoucha de ma soeur, Marie Anne Geneviède au terme de sept mois, le 27.06.1794. Puis elle partit habiter l'île suédoise SR BARTHELEMY où elle établit aussi une maison de commerce succursale de celle de mon père établi à LA GUADELOUPE. Elle dirigea cette Maison jusqu'à sa mort survenue le 9.10.1800. J'avais huit ans alors et ma soeur six ans, mon frère ainé avait 21 ans. Nous n'étions plus alors que trois enfants Cette perte douloureus et regrettable de notre bonne et digne mère a été pour nous le plus grand de tous les malheurs de notre vie pour le manque de soins et de surveillance dans la direction de notre éducation. Mais Dieu prit soin de nous et les principes religieux reçus dans notre bas âge n'ont pas été perdus, Dieu soit loué. Mon frère ainé mourut à l'age de 26 ans d'une fluxion de poitrine prise à une partie de chasse à l'Ile St Barthélémy où il se trouvait, par suite d'une insurrection des nègres à la Guadeloupe. Cette perte fut déplorable pour moi en ce qu'elle empêcha la continuation de mon éducation. Mon père se retrouvant seul me mit à son Comptoir et à ses affaires très jeune. Sa confiance en moi a été des plus entières et j'ai toujours travaillé à la mériter. Je le représentais dans toutes les affaires. Par suite de cirsconstances facheuses, d'affaires malheureuses et politiques, la colonie GUADELOUPE ayant été prise par les Anglais en 1809, mon père fut forcé de fuir à l'Ile St BARTHELEMY pour ne pas être mis en prison. Mais un an avant il m'avait émancipé pour les affaires, je n'avais alors que 18 ans et je devint par ce fait, chef de Maison. Depuis j'ai continué ma carrière de commerce dans laquelle Dieu m'a aidé ert m'a fait prospérer avec honneur. J'ai toujours habité La Guadeloupe dans la ville de La Basse Terre jusqu'en 1822. En 1819 une maladie inflammatoire de poitrine qui faisait suite à une chute de cheval me força à faire un voyage en Europe pour ma santé. De retour dans l'île en 1822 je fus forcé encore par la même cause d'aller en France ou je décidais alors de me fixer pour raison de santé et d'y établir notre maison de commerce sous la raison "RAIBAUT LABATUT" ce qui eut lieu en 1824 à l'arrivée en France de ma soeur et de son mari Jean-Pierre RAIBAUD, originaire de Toulon où il était né en 1782; ils s'étaient mariés le 27.06.1810 à BASSE TERRE. Cette maison "RAIBAUD - LABATUT" établie à la GUADELOUPE à La Basse Terre a continué en France jusqu'en 1847, ce qui fait 32 ans d'activité. En 1825, je me décidais à me marier et à prendre une compagne. J'obtins en mariage Mademoiselle Henriette Sophie LAFON, fille d'une des plus honorable Maison de Commerce de Marseille, originaire du département de l'Aveyron, de la ville de Ste Afrique Le mariage se fit le 25 avril 1825, époque d'où date mon véritable bonheu, Dieu m'ayant donné une épouse accomplie, excellente mère de famille. Ce bonheur a été complété par une belle famille : sept enfants dont il me reste six qui sont à souhait et qui feront s'il plait à Dieu la joi de mes vieux jours si Dieu nous en accorde. Notre surveillance incessante sur leur éducation morale et religieuse doit porter de bons fruits. Que Dieu aide nos souhaits pour leur bonheur et le notre. Ainsi soit-il. Jean-Marie LABATUT Passeport du 31 juillet 1831 - Jean-Marie LABATUT a 39 ans : Taille : 1m69 - Cheveux : chatain foncé - Barbe : noire - Menton : rond - Visage : allongé - Teint : brun clair - Les voeux que formule Jean-Marie LABATUT, ne se réalisèrent qu'en partie. Ses filles eurent une vie conforme aux principes de l'époque: Léonie, née en 1832, épousa Théodore OLIVIERI - Gaudentie, née en 1843, épouse Gustave GONDOIS et nous reparlerons d'elle - Marie, appellée Mimi, née en 1845, véritable sainte, célibataire. Cécile, née en 1839 épousa Henri PARANQUE. Nous reviendrons longuement sur sa famille au chapitre d'Henri Paranque. Ses fils : Jules, né en 1835 et Eugène, né en 1837 restèrent célibataires. Voici ce que rapporte leur neveu Raphaël GONDOIS, fils de leur soeur Gaudentie. "La famille LABATUT, faisait partie de la très haute "aristocratie" marseillaise. Les deux frères de Gaudentie et Cécile, Jules et Eugène, ont mené joyeuse vie : courses, jeu, femmes.... Mon oncle Jules monta souvent en course au Chateau Borrély. Les jours de course on attelait à 4 un mail-coach. Mes oncles avec Edouard LAFON (leur cousin germain) et des invités se rendaient ainsi au Chateau Borrély précédé d'un piqueur, Marius leur cocher. Ils n'allaient jamais aux courses qu'en coche avec valets en livrée rouge qui sonnaient du cor de chasse sur le Prado. Par cette vie de luxe et de sissipation, mes oncles entamèrentfortement la fortune de leur père. Jules est mort à l'age de 44 ans. Quant à Eugène, il fut recueilli par mes parents LABATUT-GONDOIS qui pendant près de trente ans, lui donnèrent le gîte et le couvert, tant au 51 rue Sainte, qu'à "Rochebelle" à Mazargues et plus tard à "Costefrède" au Puy Ste Réparade. "Eugène LABATUT était un original. Très artiste il peignait avec MONTICELLI, ce dernier était né 6, rue Longue des Capucins à Marseille, en 1824, il avait donc 13 ans de plus qu'Eugène. Monticelli mourut en 1886, l'âge de 62 ans. Eugène lui survécut 39 ans puisqu'il décéda en 1925. Eugène LABATUT faisait aussi de la musique. Il mangeait les poires "blettes", était habillé été comme hiver de la même façon. L'hiver, il ajoutait sur l'unique couverture de son lit la descente de lit et une chaise par dessus "pour faire du poids!". J'avais 7 ans quand il est mort, à l'âge de 88 ans. Jusqu'à la fin de sa vie il s'est baigné dans le lac et faisait en courant le tour de la propriété" -(Souvenirs de Gisèle ARLES DES ARNAS-GUIOL, sa petite-nièce). Il nous semnle intéressant de connaitre les différents lieux d'habitation ou de séjour de Jean-Marie LABATUT : 1824 - 69 rue St Ferréol - en meublé - 1835 - 51 rue Sainte - appartement au dessus de vastes entrepôts - ?? - Quartier Ste Anne, Bd Michelet : Campagne "Lou Brès", en co-propriété avec sa soeur Madame RAIBAUD. En 1856, cette maison était devenue trop petite pour loger la descendance LABATUT RAIBAUD, de plus, Mr RAIBAUD étant décédé, il fallait sortir de l'indivision. La propriété fut tirée au sort, lequel favorisa J.M.LABATUT. La famille HESSE, héritière des RAIBAUD, fut tellement navrée que J.M. LABATUT, homme de grand-coeur, décida de la leur abandonner et d'acheter 15 ha de terrain à S Tronc où il fit construire une belle maison avec ses dépendances. Coût de la construction : 207.000 frs. Les travaux furent terminées en 1865. 1839 - 66 rue St Ferréol - ?? - 25, Cours Bonaparte, actuellement 15, Crs Pierre Puget - Jean-Marie LABATUT fit construire cet immeuble. Le n° 23 avait été construit et était habité par les HESSE (sa nièce Marie Eugénie RAYBAUD avait épousé Marcel Jules HESSE). 1865 - St Tronc - qui fut vendu plus tard à un Monsieur LAGARDE. Jean-Marie LABATUT mourut dans sa propriété de St TRONC le 13 Octobre 1869 à l'âge de 78 ans suite à une attaque foudroyante.
#Générale#° page 2 R1 http://ligeo.archives13.fr/ark:/1234/vta234860f08c0761c3/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_13404e3ec8e5ff9599debfffb445b210#id:323847516?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1833.380,-1004.818&zoom=10&rotation=0.000
#Générale#° page 18 R1 http://ligeo.archives13.fr/ark:/1234/vta241a035e23919ef8/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_25a1b5e0a8aacae52438ece1a514fe38#id:1466081314?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1817.484,-1513.501&zoom=9&rotation=0.000