Notes for Peyronne Perrine JULLIEN


#Générale#x CM AD13 390 E 120 f° 1381
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Notes for Jean "Xavier" KUBORN


#Générale#2iem x  201E3241 R3 F118 n°233 vue31
http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta4d19bdd47b7a8705/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_ce13eea249feda44e5931d680d4586f2#id:1545341603?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=910.183,-614.967&zoom=10&rotation=0.000
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Notes for Adèle Lucie "Cécile" LABATUT


#Générale#° page 27 R4 N°1215
http://ligeo.archives13.fr/ark:/1234/vta3f04bb4510b47b24/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_a118d133df6959abf0c9f763cc1c8b72#id:162634247?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=771.929,-464.492&zoom=9&rotation=0.000
X page 28 R 4 n° 197
http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta2697c02641177b44/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_47032cd49c8b5beb10862b29c91d551f#id:721037582?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=860.834,-675.487&zoom=10&rotation=0.000
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Notes for Anne Elisabeth LABATUT


#Générale#x
http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta7694f7ca38fd9a2c/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_6481829701f1fa11d3f99b18cca958d4#id:512999556?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1120.489,-1028.550&zoom=8&rotation=0.000
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Notes for Claude LABATUT


#Générale#source
https://gw.geneanet.org/augusta06?lang=fr&p=pierre&n=labatut&oc=1
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Notes for Claude LABATUT


#Générale#source
https://gw.geneanet.org/augusta06?lang=fr&p=pierre&n=labatut&oc=1
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Notes for Honoré LABATUT


#Générale#° F28 vue150
http://www.basesdocumentaires-cg06.fr:8080/ics/Converter?id=C887A2BB4BD8810ED693EC6EA85E4914/GG5_GG5_0155.jp2&s=0.6739999999999999&r=0&x=0&y=244&w=2009&h=1011


x F21 vue342
http://www.basesdocumentaires-cg06.fr:8080/ics/Converter?id=31120D442E520A43433D7EC719D1D29B/GG6_GG6_0365.jp2&s=1.1132359550561797&r=0&x=1702&y=1767&w=2259&h=1011

Tout ce qui concerne la vie d'Honoré LABATUT dont à ce jour (05.12.1995)
nous ne connaissons ni la date ni le lieu de décés, est consigné dans les
Souvenirs de son fils JEAN MARIE LABATUT (1791-1869).
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Notes for Jean-Marie Pierre Jules César LABATUT


#Générale#° Saint Pierre Le Mouillage 1791 F33 vue35 n°255
http://anom.archivesnationales.culture.gouv.fr/caomec2/osd.php?territoire=MARTINIQUE&commune=SAINT-PIERRE%20LE%20MOUILLAGE&annee=1791&typeacte=AC_NA

x 201E3154 R1 F138 vue17 n°253
http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vtab53943894a56563e/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_0e9d1e8c9dccca44392cd74de3752013#id:1525164313?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1057.410,-725.178&zoom=8&rotation=0.000

+ 201E4785 R7 F6 vue6 n°92
http://ligeo.archives13.fr/ark:/40700/vta5867e9863f7eb7cf/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_ee97cd1d9e7f53763cd55ed5a3bad93b#id:224359141?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=2049.162,-1796.248&zoom=10&rotation=0.000

                                       Marseille le 22 avril 1947
Raphaël GONDOIS, petit-fils de Jean-Marie LABATUT, puisque fils de Gaudentie
(1843-1890) épouse de Gustave GONDOIS, livre le résultat de ses recherches
généalogiques et c'est ainsi que nous pouvons, aujourd'hui 3 Décembre 1995
reconstituer l'histoire de toutes ces lignées qui aboutissent à nos petits
enfants.

En ce qui concerne les LABATUT, Raphaël Gondois nous indique que dans
l'ouvrage "CANNES A TRAVERS LES AGES" édité par Pierrugues à Cannes en
1931, les LABATUT seraient arrivés à Cannes  vers 1780. A cette époque
l'île Ste Marguerite était une garnison de marins et de soldats. On estime
que les LABATUT, comme d'autres personnes, ont dû venir rejoindre un des
membres de leur famille cantonné dans l'île. 
La butte de Saint Cassien fut achetée en 1792 par 83 cannois parmi lesquels
figuraient Antoine et Joseph LABATUT, l'un marin, l'autre bourgeois. Ce groupe
de cannois fit construire la chapelle existante. 
Les Archives Municipales nous indiquent qu'en 1722 un capitaine LABATUT eut
son navire coulé à l'entrée du port de Cannes. Vers 1800, un Claude
LABATUT, chargé du service des îles, fut inhumé à l'île St Honorat.

Cependant en ce qui concerne les LABATUT qui nous intéresse, nous savons avec
certitude que :
- Honoré LABATUT, Capitaine marin à Cannes épouse vers 1729 à GRASSE,
Mademoiselle CAMATE fille de N.CAMATE,  Quincailler de cette ville.
- Leur fils Pierre LABATUT voit le jour à Cannes le 27.03.1759, il est
baptisé à Ntre Dame de Miséricorde le lendemain
                                       Marseille le 20 septembre 1850

J'écris ceci pour mes enfants et dans le but de leur transmettre des faits
historiques de mes ancêtres et afin surtout de leur faire prendre courage
dans toutes les circonstances de la vie, en foulant au pied l'orgueil si
commun dans l'homme et qui le porte à oublier de qui il descend et à
mépriser son semblable. Dieu punit toujours l'orgueil et récompense
l'humilité.
Je commence par parler de mon grand-père Honoré LABATUT, qui s'était marié
à Cannes avec Mademoiselle CAMATE, d'après ce que m'en a dit mon père
Pierre LABATUT né le 28 mars 1759 à Cannes : c'était un bon marin, probe et
honnête, Capitaine d'une bombarde marchande attachée au port de Marseille
d'environ cent tonneaux. C'était un homme d'un caractère rude et violent
avec lequel mon père n'a pu vivre que jusqu'à l'âge de quinze ans. Trouvant
qu'il serait plus heureux sous un autre commandement, il laissa le navire de
son père de consentement mutuel (faute immense qu'il fit). De cette époque
ont commencé ses malheurs.
Donc mon père, Pierre LABATUT,  en l'an 1774 ou 1775, se rendit à Toulon et
il s'embarqua en qualité de Pilotin à bord du vaisseau à trois ponts nommé
"LE TONNANT", commandé par le Comte de GRASSE, chef d'une escadre qui fit
route peu de jours après pour l'Amérique. Dans le trajet, ils furent suivi
par une escadre ennemie anglaise avec qui ils livrèrent un combat sanglant
où l'escadre française fut anéantie. Le vaisseau amiral "LE TORRENT" sur
lequel était mon père comme pilotin au poste des signaux, fut obligé
d'"amener"(amener les voiles : les baisser : se rendre) ayant perdu plus de la
moitié de son équipage : ils avaient eu affaire à deux vaisseaux ennemis à
la fois. " LE TONNANT " fut pris par les Anglais et coula au fond dans la
même journée.
Mon père, Pierre LABATUT eut le bonheur d'être parmi les vivants, sans une
blessure, ce qui était pour lui une protection divine. Il fut fait prisonnier
par les Anglais et conduit aux îles anglaises d'Amérique nommée Les
Bermudes où il séjourna en prison fermée pendant près de cinq ans. Il
mangea, ainsi qu'il le disait souvent, plus que de la vache enragée. Enfin il
survint dans ces îles une famine horrible et le gouverneur ne pouvant plus
nourrir les prisonniers leur donna la liberté d'aller où ils voudraient. Mon
père trouva la possibilité, quoique sans ressources aucune de se rendre à
LA MARTINIQUE, colonie française où il débarque en 1784 ou 1785. Il n'avait
pour tout avoir que six francs dans sa poche et comme vêtements, ceux qu'il
avait sur le corps, ce qui le plaçait aux portes de l'indigence complète.
Cependant, doué d'un caractère ferme et décidé il chercha de suite à se
tirer d'une si triste position et à gagner sa vie à la sueur de son front
sans se chagriner de son dénuement.
Il y avait dans la rade de St Pierre de la Martinique, lorsqu'il y débarqua,
un navire de Marseille, et, comme notre famille est originaire de Cannes en
Provence, il se rendit à bord pour voir des compatriotes. Il y trouva le
capitaine, un ami de son père, qui lui fit beaucoup de reproches d'avoir fait
la mauvaise tête, d'avoir laissé un homme si digne pour aller courir des
aventures, ajoutant qu'il devait bien comprendre que Dieu l'avait puni en le
faisant tomber prisonnier pendant cinq ans des Anglais. Il lui offrit de le
ramener en France s'il le voulait, là il serait plus heureux, ce que mon
père refusa allégeant qu'il préférait rester dans la colonie pour y
travailler à gagner un avoir avant de retourner en France. Il le pria
seulement de lui avancer la somme de 100 francs, remboursable en France par
son père. Ce prêt lui fut refusé!

Alors, mon père, pour vivre se fit ouvrier chez un marchand de parapluies,
sans appointements : on le nourrissait et on lui apprenait l'état. Quand il
l'eut appris il commença à être en meilleure position puisqu'il gagnait sa
vie comme ouvrier. Puis trouvant qu'il ne gagnait pas suffisamment, cet état
ne lui convint plus. Il se plaça alors chez un chapelier pour apprendre
l'état. Losqu'il le sut, il commença à gagner des appointements comme
ouvrier et avec de l'économie et de l'ordre il se trouva en moyen d'établir
un petit magasin avec le crédit qu'il obtint par sa bonne conduite et son
exactitude.
Sa position dés lors s'améliora, ce qui le décida à se marier à St PIERRE
DE LA MARTINIQUE vers 1783 et à demander une pauvre orpheline européenne
sans fortune qui avait été recueillie à la mort de ses parents par une
famille du nom de MEIZIN. Elle se nommait Elisabeth BAJOT (née en 1753 à
RETHEL-MAZARIN dans les Ardennes, fille de François BAJOT et de Christine
BAUCHERON) et fut ma mère.Elle apportait en dot 3000 livres représentées
par un lit garni de sa couette de plumes, matelas, traversin, draps et
paillasse, une armoire en bois de pays, une table de toilette garnie avec
glace, cadre doré. Pierre LABATUT apportait 2000 livres. Les parents de ma
mère,  originaires de Champagne étaient d'honorables ouvriers qui furent,
par suite des évènements politiques de la Révolution ou de 1793, forcés
d'émigrer à la Martinique pour y travailler et bien entendu elle partit avec
eux.En peu de temps elle perdit son père puis sa mère et fut recueillie par
la bonne famille MEIZIN, originaire de la Provence. Mon père et ma mère
eurent cinq enfants : deux garçons et trois filles, deux seulement
survécurent :  Marie Geneviève qui devint Mme RAIBAUD et moi même qui suis
né le 18.101791 à St Pierre de la Martinique où je fus baptisé le
18.11.1791 en l'église Nt Dame du Bon Port.

A l'époque de la Révolution, en 1793, le parti royaliste étant majoritaire,
mon père se rendit à la GUADELOUPE où il concourut à la prise de cette
colonie sur les Anglais et les royalistes dans l'armée de Victor HUGUES comme
volontaire. Il parvint au grade de Lieutenant de Carabiniers avec pour
Capitaine Mr PERARD (ou GERARD). Après la prise de l'île il donna sa
démission et se fixa à La GUADELOUPE où il se mit dans les affaires.

Ma mère était une de ces femmes rares pour l'énergie de son caractère,
douée d'un courage étonnant pour son sexe. Durant cette période si
difficile de la Révolution, le parti royaliste à la Martinique, ne pouvant
arrêter mon père, fit mettre ma mère en prison où elle resta cinq mois
quoique étant en état de grossesse. Arrivée à son terme des amis obtinrent
sa sortie et on l'embarqua pour l'île anglaise LA DOMINIQUE où elle accoucha
de ma soeur, Marie Anne Geneviède au terme de sept mois, le 27.06.1794. Puis
elle partit habiter l'île suédoise SR BARTHELEMY où elle établit aussi une
maison de commerce succursale de celle de mon père établi à LA GUADELOUPE.
Elle dirigea cette Maison jusqu'à sa mort  survenue le 9.10.1800. J'avais
huit ans alors et ma soeur six ans, mon frère ainé avait 21 ans. Nous
n'étions plus alors que trois enfants
Cette perte douloureus et regrettable de notre bonne et digne mère a été
pour nous le plus grand de tous les malheurs de notre vie pour le manque de
soins et de surveillance dans la direction de notre éducation. Mais Dieu prit
soin de nous et les principes religieux reçus dans notre bas âge n'ont pas
été perdus, Dieu soit loué. Mon frère ainé mourut à l'age de 26 ans
d'une fluxion de poitrine prise à une partie de chasse à l'Ile St
Barthélémy où il se trouvait, par suite d'une insurrection des nègres à
la Guadeloupe. Cette perte fut déplorable pour moi en ce qu'elle empêcha la
continuation de mon éducation. Mon père se retrouvant seul me mit à son
Comptoir et à ses affaires très jeune. Sa confiance en moi a été des plus
entières et j'ai toujours travaillé à la mériter. Je le représentais dans
toutes les affaires. 

Par suite de cirsconstances facheuses, d'affaires malheureuses et politiques,
la colonie GUADELOUPE ayant été prise par les Anglais en 1809, mon père fut
forcé de fuir à l'Ile St BARTHELEMY pour ne pas être mis en prison. Mais un
an avant il m'avait émancipé pour les affaires, je n'avais alors que 18 ans
et je devint par ce fait, chef de Maison. Depuis j'ai continué ma carrière
de commerce dans laquelle Dieu m'a aidé ert m'a fait prospérer avec honneur.

J'ai toujours habité La Guadeloupe dans la ville de La Basse Terre jusqu'en
1822. En 1819 une maladie inflammatoire de poitrine qui faisait suite à une
chute de cheval me força à faire un voyage en Europe pour ma santé. De
retour dans l'île en 1822 je fus forcé encore par la même cause d'aller en
France ou je décidais alors de me fixer pour raison de santé et d'y établir
notre maison de commerce sous la raison "RAIBAUT  LABATUT" ce qui eut lieu en
1824 à l'arrivée en France de ma soeur et de son mari Jean-Pierre RAIBAUD,
originaire de Toulon où il était né en 1782; ils s'étaient mariés le
27.06.1810 à BASSE TERRE. Cette maison "RAIBAUD - LABATUT" établie à la
GUADELOUPE à La Basse Terre a continué en France jusqu'en 1847, ce qui fait
32 ans d'activité.

En 1825, je me décidais à me marier et à prendre une compagne. J'obtins en
mariage Mademoiselle Henriette Sophie LAFON, fille d'une des plus honorable
Maison de Commerce de Marseille, originaire du département de l'Aveyron, de
la ville de Ste Afrique
Le mariage se fit le 25 avril 1825, époque d'où date mon véritable bonheu,
Dieu m'ayant donné une épouse accomplie, excellente mère de famille. Ce
bonheur a été complété par une belle famille : sept enfants dont il me
reste six qui sont à souhait et qui feront s'il plait à Dieu la joi de mes
vieux jours si Dieu nous en accorde. Notre surveillance incessante sur leur
éducation morale et religieuse doit porter de bons fruits.
Que Dieu aide nos souhaits pour leur bonheur et le notre. Ainsi soit-il.

                                               Jean-Marie LABATUT

Passeport du 31 juillet 1831 - Jean-Marie LABATUT a 39 ans :
       Taille : 1m69 - Cheveux : chatain foncé - Barbe : noire - 
       Menton : rond - Visage : allongé - Teint : brun clair -

Les voeux que formule Jean-Marie LABATUT, ne se réalisèrent qu'en partie.
Ses filles eurent une vie conforme aux principes de l'époque:
Léonie, née en 1832, épousa Théodore OLIVIERI -
Gaudentie, née en 1843, épouse Gustave GONDOIS et nous reparlerons d'elle -
Marie, appellée Mimi, née en 1845, véritable sainte, célibataire.
Cécile, née en 1839 épousa Henri PARANQUE. Nous reviendrons longuement sur
sa famille au chapitre d'Henri Paranque.
Ses fils : Jules, né en 1835 et Eugène, né en 1837 restèrent
célibataires. Voici ce que rapporte leur neveu Raphaël GONDOIS, fils de leur
soeur Gaudentie.

"La famille LABATUT, faisait partie de la très haute "aristocratie"
marseillaise. Les deux frères de Gaudentie et Cécile, Jules et Eugène, ont
mené joyeuse vie : courses, jeu, femmes.... Mon oncle Jules monta souvent en
course au Chateau Borrély. Les jours de course on attelait à 4 un
mail-coach. Mes oncles avec Edouard LAFON (leur cousin germain) et des
invités se rendaient ainsi au Chateau Borrély précédé d'un piqueur,
Marius leur cocher.  Ils n'allaient jamais aux courses qu'en coche avec valets
en livrée rouge qui sonnaient du cor de chasse sur le Prado. Par cette vie de
luxe et de sissipation, mes oncles entamèrentfortement la fortune de leur
père. Jules est mort à l'age de 44 ans. Quant à Eugène, il fut recueilli
par mes parents LABATUT-GONDOIS qui pendant près de trente ans, lui
donnèrent le gîte et le couvert, tant au 51 rue Sainte, qu'à "Rochebelle"
à Mazargues et plus tard à "Costefrède" au Puy Ste Réparade.
"Eugène LABATUT était un original. Très artiste il peignait avec
MONTICELLI, ce dernier était né 6, rue Longue des Capucins à Marseille, en
1824, il avait donc 13 ans de plus qu'Eugène. Monticelli mourut en 1886,
l'âge de 62 ans. Eugène lui survécut 39 ans puisqu'il décéda en 1925.
Eugène LABATUT
faisait aussi de la musique. Il mangeait les poires "blettes", était habillé
été comme hiver de la même façon. L'hiver, il ajoutait sur l'unique
couverture de son lit la descente de lit et une chaise par dessus "pour faire
du poids!". J'avais 7 ans quand il est mort, à l'âge de 88 ans. Jusqu'à la
fin de sa vie il s'est baigné dans le lac et faisait en courant le tour de la
propriété" -(Souvenirs de Gisèle ARLES DES ARNAS-GUIOL, sa petite-nièce).

Il nous semnle intéressant de connaitre les différents lieux d'habitation ou
de séjour de Jean-Marie LABATUT :

1824  -  69 rue St Ferréol  -  en meublé  -
1835  -  51 rue Sainte      -  appartement au dessus de vastes entrepôts -   
??   - Quartier Ste Anne, Bd Michelet : Campagne "Lou Brès", en
        co-propriété avec sa soeur Madame RAIBAUD. En 1856, cette maison 
        était devenue trop petite pour loger la descendance LABATUT RAIBAUD,        
de plus, Mr RAIBAUD étant décédé, il fallait sortir de l'indivision.
        La propriété fut tirée au sort, lequel favorisa J.M.LABATUT. La 
        famille HESSE, héritière des RAIBAUD, fut tellement navrée que J.M.
        LABATUT, homme de grand-coeur, décida de la leur abandonner et 
        d'acheter 15 ha de terrain à S Tronc où il fit construire une belle
        maison avec ses dépendances. Coût de la construction : 207.000 frs.
        Les travaux furent terminées en 1865. 
1839  -  66 rue St Ferréol  -
 ??   -  25, Cours Bonaparte, actuellement 15, Crs Pierre Puget  - 
         Jean-Marie LABATUT fit construire cet immeuble. Le n° 23 avait été 
        
construit et était habité par les HESSE (sa nièce Marie Eugénie
         RAYBAUD avait épousé Marcel Jules HESSE). 
1865  -  St Tronc  - qui fut vendu plus tard à un Monsieur LAGARDE.


Jean-Marie LABATUT mourut dans sa propriété de St TRONC le 13 Octobre 1869
à l'âge de 78 ans suite à une attaque foudroyante.
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Notes for Jean Marie "Eugène" LABATUT


#Générale#° page 2 R1
http://ligeo.archives13.fr/ark:/1234/vta234860f08c0761c3/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_13404e3ec8e5ff9599debfffb445b210#id:323847516?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1833.380,-1004.818&zoom=10&rotation=0.000
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Notes for Jean Pierre "Jules" LABATUT


#Générale#° page 18 R1
http://ligeo.archives13.fr/ark:/1234/vta241a035e23919ef8/daogrp/0/layout:table/idsearch:RECH_25a1b5e0a8aacae52438ece1a514fe38#id:1466081314?gallery=true&brightness=100.00&contrast=100.00¢er=1817.484,-1513.501&zoom=9&rotation=0.000
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